Bienvenue au royaume

Bonjour, amateurs de contes, chercheurs de surprises, voyageurs en imaginaire, vous qui avez dans vos bagages l'innocence de Candide et la grâce d'Alice ! Petite artisane de l'imaginaire, je viens de me mettre à mon... conte. Un, deux, trois... il y en a quinze, je les ai façonnés pour vous régaler, ils sont pétris de tous les ingrédients qui me font vivre : la dentelle des matins de brouillard, celle des oeufs à la neige, la fraîcheur des champs de jonquilles, les lèvres des roses, les ruisseaux qui emportent les chagrins d'amour, les hautes tours d'où l'on voit la mer, ces gens qu'on aime parce qu'ils ne sont pas des anges et la tendresse. Ces quinze contes ne sont ni des reprises, ni des adaptations. Ce sont des textes originaux élaborés à partir de cette matière vivante qui nous fait rire, pleurer, désirer, aimer. Je les ai nommés : Les Contes du palais perdu

lundi 16 novembre 2009

Salon de Contrexéville


Alixe, Philippe Roussel, Anne Bronner.

Philippe Roussel a fait un tabac.


Ce week-end, j'ai participé au salon du livre de Contrexéville, en toute sobriété, on n'a bu que de l'eau généreusement offerte.



En coulisse du salon-comme souvent- une équipe de bénévoles humble et dévouée. Visite de Gérard David président national de Lire et faire lire. Discours des élus pleins de bonne volonté. Manque de sous déploré...



L'invité d'honneur était Mikaël Ollivier, des éditions Thierry Magnier qui ont le vent en poupe dans le secteur jeunesse. Il faut dire que c'est inventif et de belle qualité.
Présentes aussi les dynamiques éditions du Minibus qui font leur petit bonhomme de chemin.



Le public est venu, il s'est rué sur les animations gratuites. Le conteur africain a eu beaucoup de succès. Le troubadour Philippe Roussel a ravi les balbins et leurs mamans, comme d'habitude depuis trente ans...avec le même enthousiasme et talent.



J'avais la chance de l'avoir sur mon stand avec la pétulante Anne Bronner.



On n'a pas gagné beaucoup d'argent mais...on a bien ri et on s'est dit des secrets.



Est-ce qu'il y a des échanges dans les salons ? Oui, surtout entre invités. ça papote bien derrière les étals, des heures durant...Le dialogue est plus difficile et limité avec le public. Il y a tous ceux qui ne s'approchent pas trop, qui ont tellement peur qu'on les oblige à acheter un livre. Alors nous, prudents, on les laisse feuilleter sans leur parler parfois, tellement on les sent prêts à détaler comme des moineaux effrayés, craignant d'être pris au piège...



Quoi qu'il en soit il vaut mieux un salon que pas du tout.


Des livres ont été achetés, des mots partagés...même si c'est trop peu...
Au suivant !!!!